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L'équipe de l'Athletica Vaticana - source de l'imagePour cette semaine du 8 juillet, le CIDOC vous propose un livre de Marie-Théo Manaud ainsi qu’un reportage que la RTS a consacré à Camille Chenaux. Toutes deux sont membres de l’Athletica Vaticana, l’équipe sportive du Vatican.
Livre : Respire avec le souffle de Dieu / Marie-Théo Manaud
Sœur Marie-Théo, Marie-Laure Puybareau-Manaud, est religieuse dans la congrégation romaine de Saint-Dominique à Rome. Elle pratique la course de fond. Dans son livre : Respire avec le souffle de Dieu, Marie-Théo Manaud partage avec le lecteur les pensées, les questions et les réflexions qui l’accompagnent pendant sa pratique du sport.
« Chaque course est une aventure, une surprise… Que nous révèlent-elles ? Que nous enseignent-elles ? L’existence est un rendez-vous radical avec soi-même, avec Dieu qui est en nous, que nous portons tout au long de l’entraînement, de la compétition et qui nous donne la confiance et le courage d’aller jusqu’au bout, un peu plus loin, encore plus loin…
Un traité de spiritualité pour aujourd’hui. » (Extrait de la quatrième de couverture)
Respire avec le souffle de Dieu / Marie-Théo Manaud. – Paris : Les Éd. du Cerf, 2024. – 138 p. ; 20 cm. – ISBN 9782204156578
A retrouver dans le catalogue du CIDOC (ici)
Vidéo : Le Mag : Foi en elle / Sport dimanche, RTS
Le magazine de l’émission Sport dimanche diffusé sur la chaîne RTS1 le 4 octobre 2020 propose le portrait de la sportive genevoise Camille Chenaux, membre du club d’athlétisme du Vatican (durée : 5 min.).
Le reportage est à voir (ici)
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Pour ce deuxième rendez-vous, le CIDOC vous propose un film ainsi qu’un podcast.
Film : La couleur de la victoire / Stephen Hopkins
Ce film de Stephen Hopkins sorti sur les écrans en 2016, retrace le parcours de l’athlète afro-américain Jesse Owens qui marquera l’histoire en obtenant quatre médailles d’or lors des Jeux olympiques de Berlin en 1936.
Après avoir menacé de boycotter l’événement pour marquer leur désapprobation à l’encontre du régime au pouvoir en Allemagne, de nombreux pays acceptent finalement d’envoyer leurs délégations. Les victoires remportées par Jesse Owens, sous les yeux d’Adolf Hitler, viennent discréditer l’idéologie suprémaciste et raciste du régime nazi qui souhaitait faire par ces jeux la démonstration de sa supériorité. Le film montre aussi la réalité de la ségrégation raciale dont sont victimes les afro-américains aux Etats-Unis et pose la question, à travers les dilemmes vécus par le sprinter, de ce que l’on est prêt à accepter pour atteindre un but ou assouvir une passion.
Les jeux olympiques seront ensuite régulièrement utilisés comme vitrine servant à la promotion de régimes politiques en place dans certains pays. L’exposition médiatique offrira également la possibilité aux sportifs d’exprimer leur soutien à certaines revendications politiques ou sociales ainsi que leur engagement en faveur de la lutte contre les discriminations et pour la promotion de la paix.
La couleur de la victoire / Stephen Hopkins. – [S.I.] : Impuls Home Entertainment, 2017. – 1 DVD-vidéo (117 min.)
A retrouver dans le catalogue du CIDOC (ici)
Podcast : Protestantisme et sport / Solaé, France Culture
Dans l’émission Solaé du 24 mars dernier et diffusée sur la chaîne France Culture, Jean-Luc Gadreau recevait le pasteur Vincent Nême-Peyron, président de la Commission des ministères de l’Église protestante unie de France pour évoquer notamment les liens historiques qu’entretiennent plusieurs disciplines sportives représentées aux Jeux olympiques avec le protestantisme. C’est le premier épisode d’une série que le magazine Solaé a consacré aux prochains Jeux olympiques et qui s’intitule : À vos marques… pour les Jeux de Paris !
Protestantisme et sport. Solaé, le rendez-vous protestant, France Culture, 24 mars 2024. – Durée : 29 min. – À vos marques… pour les Jeux de Paris !
Le podcast est à écouter (ici)
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Plutôt que de reprendre un discours culpabilisant sur le désintérêt chronique des européens pour le continent africain, signalons la très belle initiative de l'illustrateur Jean-Denis Pendanx qui est lui-même un grand connaisseur de moult pays africains (voir sa fiche de présentation, ici) et qui vient de réaliser, seul, une somptueuse bande dessinée - L’œil du Marabout - avec un dessin et des couleurs très travaillées, très belles, qui rendent justice à l'humanité des personnes qu'il a rencontrées sur ce continent.
Et de quoi parle cette bande dessinée ? Du drame du Soudan du Sud, plongé dans le chaos d'une guerre qui s'enlise et avec son cortège de malheurs dont, tout particulièrement, les camps de réfugiés et les enfants soldats, et cela, vu à hauteur d'enfant. Ils sont en fait deux : une fillette de 6 ans, Nialony, et son grand frère dégingandé Georges. L'auteur traite très intelligemment son sujet et nous raconte une fiction à partir de personnages qu'il a réellement rencontrés. Devant la violence des événements vécus par ces deux enfants, l'auteur trouve des solutions très évocatrices à la fois pour éviter de la montrer trop crûment (on parle bien d'enfants soldats, armés de rudimentaires machettes, qui doivent en exécuter d'autres !) tout en ne l'occultant aucunement.
Le récit se prolonge avec un dossier complémentaire qui contient plusieurs photographies qui ne peuvent que remuer le cœur : on y retrouve Nialony et Georges, et on ne peut que reconnaître, admiratifs, leur soif de vie et leur vitalité en dépit de la terrible adversité qu'ils doivent subir jour après jour. En conclusion, voici ce que dit l'auteur :
je pense souvent à Nialony et à Georges. Ils ont dû bien grandir. Le conflit demeure, le camp aussi, mais un cessez-le-feu perdure depuis cinq ans. J'ai bon espoir qu'ils voient la fin de cette guerre fratricide et vivent un jour dans un pays en paix et définitivement sans miradors.
Cette bande dessinée est donc dès à présent à votre disposition au CIDOC !
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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Ce qui devait arriver arriva.
Dans une société qui se sécularise toujours plus, telle une bobine qui se dévide, génération après génération, il fallait bien qu'il y ait, à un moment donné, des produits destinés aux enfants qui soient adaptés à un public non confessant mais souhaitant tout de même raconter les récits bibliques les plus connus. Ce n'est pas un phénomène totalement nouveau (pensons par exemple à la publication de une Bible de Philippe Lechermeier et Rebecca Dautremer) mais amené à devenir de plus en plus fréquent.
C'est ainsi que les Éditions Milan viennent de lancer une série nommée Mes p'tits récits des religions (à noter qu'une série similaire est, elle, intitulée Mes p'tits mythes et qui met en valeur, entre autres, la mythologie gréco-romaine), qui compte pour le moment deux albums : Adam et Ève ainsi que L'arche de Noé. L'objectif est donc principalement de transmettre des connaissances et vise à élargir la culture générale des enfants ; il ne s'agit donc pas d'éveil à la foi.
Le contenu est grosso modo fidèle au récit biblique et donne au lecteur des clés interprétatives relativement correctes même si des détails peuvent surprendre - en particulier, sur le plan iconographique, concernant la représentation de Dieu.
Il est également certain que des croyants trouveraient aussi à redire sur certaines des formulations que l'on trouve dans ces deux albums (voir ci-contre). Toutefois, il est important et intéressant de savoir que ce type de publications existe à présent et que nous le mettons aussi à disposition au CIDOC. Reste à savoir s'ils trouveront leur public ; le temps le dira !
Ces albums - et bien d'autres également - sont à présent empruntables au CIDOC.
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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Le Voyage du Pèlerin est un grand classique de la littérature chrétienne d'édification. Paru pour la première fois en 1678 sous la plume de John Buynan, il relate la pérégrination de Chrétien (Christian en anglais, bien entendu) qui cherche à fuir la Cité de la Destruction pour rejoindre la Cité céleste. C'est une allégorie puissante qui dépeint les vicissitudes du croyant et entend prévenir le lecteur croyant de tous les obstacles qu'il pourrait bien rencontrer au cours de sa vie dans notre monde. Précisons que John Buynan était un prédicateur baptiste qui a vécu au moment des guerres civiles qui ont agité les Îles Britanniques (première révolution anglaise, ère de Cromwell et Restauration) et qui a connu lui-même la prison ; c'est d'ailleurs durant cette période-là qu'il rédigea son œuvre majeure.
Il est intéressant de relever qu'au CIDOC, nous avons bien entendu la version originale (traduite en français) du best-seller de Buynan, mais également une adaptation cinématographique (voir la notice ici) ainsi qu'une version manga forcément spectaculaire (voir la notice ici). Les éditions Scriptura (une dépendance de Bibli'O) ont maintenant publié la traduction d'une version adaptée pour les plus jeunes qui est vraiment très réussie et qui nous a surpris à plus d'un titre :
- L'ouvrage en lui-même est somptueux : les illustrations sont réalisées avec un talent certain par l'américain Joe Sutphin - il y a même du brillant qui orne les lettres du titre sur la couverture ! Et même la police de caractère a été sélectionnée avec un soin particulier.
- Les différents protagonistes du récit sont tous des animaux, également dessinés avec talent et qui apportent au récit beaucoup plus de douceur comparativement à la version originale (le Voyage du Pèlerin est quand même un récit d'une certaine dureté, avec toutes ces batailles, tous ces périls, et qui alterne sans cesse entre rencontres menaçantes et soutiens providentiels).
- La mise en page, aérée, parvient à trouver un équilibre entre les images et le récit, et le découpage en chapitres courts est un encouragement à une lecture suivie (tous les soirs par exemple). A noter que le texte, même simplifié, reste relativement exigeant.
Ce livre (et bien d'autres) est dès à présent à votre disposition au CIDOC !
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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Voici un album étonnant destiné aux enfants qui nous avait échappé et qui a été publié par un éditeur évangélique (BLF) en 2017 (notons tout de suite qu’il s’agit d’une traduction ; l’original américain ayant été publié en 2011). : Le Barbier qui voulait prier.
Le personnage principal du récit n’est autre que le Réformateur Martin Luther ! Pour autant, il ne s’agit pas entièrement d’une fiction puisque le récit est basé sur un texte réellement publié par Martin Luther en 1535 : A un bon ami, une manière simple de prier qu’il avait écrit à la suite de la question toute simple qui lui avait été posée par un barbier « Docteur Luther, comment priez-vous ? ».
Sans vouloir dévoiler l’intégralité de la réponse, Luther identifie trois textes à apprendre : le Notre Père, bien sûr, mais aussi le Symbole des Apôtres ainsi que les Dix commandements, lesdits textes étant d’ailleurs proposés, en annexe, à la fin de l’album ! Vous aurez compris que le fin fond du message est d’aller plus loin qu’un apprentissage par cœur et de véritablement d’apprendre à méditer du fond du cœur à partir de ces textes fondamentaux.
Les illustrations de T. Lively Fluharty sont tout simplement savoureuses et, Luther étant omniprésent tout au long du récit on peut décortiquer la « tronche » de Luther sous tous les angles – et comme vous pouvez le voir sur la couverture, il y a toujours un chat qui traîne par-ci, par-là !
On relèvera cependant que le texte de cet album est assez long et ne conviendra pas aux plus petits (contrairement ce qu'indique la 4e de couverture qui suggère cet album pour les 3 à 10 ans).
Ce document est dès à présent à votre disposition au CIDOC !
Robin Masur, chef de service du CIDOC
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Si le temps vous manque pour lire, alors que vous avez l'envie de vous enrichir spirituellement, lisez-donc les livres de Marie-Laure Durand qui parvient, en juste quelques pages, à décortiquer des passages bibliques, connus ou obscurs, pour en retirer une saveur inattendue.
Après Pharaon a des problèmes de cœur (qui nous emmène dans l'épisode des Plaies d’Égypte et l'endurcissement du Pharaon), et après Le roi déçu (dont nous avons déjà publié une recension ici), la théologienne française vient de publier Visiter nos cachettes .
Après une introduction en forme de plaidoyer sur les mérites des cachettes et de l'évitement des dangers, Marie-Laure Durand nous propose une méditation sur la nudité d'Adam et Eve qui se dissimulent au milieu des arbres peu après avoir, comme chacun sait, enfreint le seul interdit qui leur avait été imposé. Le livre est court (124 p.), et nous fait découvrir des pistes enrichissantes à travers trois auteurs totalement différents : Saint Jean Chrysostome, le philosophe juif Martin Buber et...l'artiste aux oeuvres protéiformes Alexandre Jodorowsky (oui, vous avez bien lu)!
Il est important de relever que la rédaction de ce petit essai a été liée à un temps de retraite vécu avec la Communion Béthanie - qui a pour but de porter un nouveau regard sur les personnes transgenres et homosensibles, sans chercher à les changer. ce qui explique également son caractère de circonstance, ainsi que la thématique choisie (nudité, fragilité, honte, identité cachée), ce qui peut évidemment donner du grain à moudre supplémentaire.
Où es-tu ? Les trois auteurs que nous venons de lire montrent que la question s'adresse à chacun de nous. Elle n'est jamais aussi bien entendue, elle n'a jamais autant de poids que quand elle vient rejoindre la personne dans ses cachettes. C'est alors une main tendue pour vivre au grand jour, pour vivre de lumière. (op. cit., p. 82)
Le livre (et bien d'autres documents) est dès à présent à votre disposition au CIDOC !
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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...tel est le sous-titre de cette série qui a l'ambition de rendre accessible les différentes disciplines rattachées à cet immense domaine qu'est la psychologie (systémie, psychologie sociale, psychologie cognitive, analyse transactionnelle, et tant d'autres encore) par l'intermédiaire du 7e art : à chaque fois, c'est un spécialiste de la discipline concernée qui s'exprime et qui commente un film de son choix, qui illustre les concepts dont il veut parler. Le fait de ne pas avoir vu le film n'est pas un trop grand inconvénient, car il est toujours résumé de façon claire et concise à l'intention du lecteur !
En somme, c'est une approche inhabituelle, mais plaisante, qui permettra à chacun d'avoir de meilleures notions de ces disciplines qui peuvent sembler, de prime abord, très abstraites, et qui trouvent, là, une illustration concrète.
Point intéressant : nombreux de ces films sont déjà disponibles au CIDOC (The Truman Show, The Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Le Ruban Blanc, L'insulte, Nomadland, etc...).
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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Dans un futur proche, au Japon est votée un loi qui donne la possibilité aux personnes âgées de plus de 75 ans de pouvoir recourir à une aide active à mourir (euthanasie), encadrée par le gouvernement.
Le scénario, très simple, de Plan 75 de Chie Hayakawa est une véritable claque et donne à penser.
Le film se déroule entièrement en terres japonaises, dans le pays le plus âgé du monde (près de 30% de la population a actuellement plus de 65 ans). Tout au long du film, nous suivons la protagoniste principale, Michi, évidemment trop vieille pour encore travailler mais qui doit absolument subvenir à ses besoins puisque le revenu de sa retraite ne suffit visiblement pas à couvrir ses besoins fondamentaux. Mais lorsqu'elle est licenciée par l'hôtel qui l'employait, se pose alors la question insidieuse du choix de l'euthanasie, puisque dans ce monde-là, le Plan 75 est mis en avant dans les espaces publics et dans les médias.
Ce film interpellant, lent et posé, exige du spectateur qu'il mobilise toute son attention et sa patience. Tout au long de cette dystopie si réaliste, nous accompagnons Michi dans ses faits et gestes de la vie quotidienne, ainsi que deux autres protagonistes qui se croiseront également : Hiromu, jeune fonctionnaire du gouvernement, incarnation même du salaryman poli et effacé, ainsi que Maria, immigrée philippienne et aide-soignante). Sans dévoiler toute sa trame, soulignons que ce film exige que nous réfléchissions sérieusement à l'accompagnement que nous voulons pour les personnes les plus âgées dans nos sociétés.
Voir également l'excellente présentation de ce film dans ce blog qui donne des clés interprétatives très claires pour approfondir l'intention de la réalisatrice Chie Haykawa (à noter que c'est son premier long métrage, le Plan 75 ayant obtenu le grand prix lors du FIFF à Fribourg !).
Le DVD est, lui, bien sûr à votre disposition au CIDOC !
Robin Masur, Chef de service du CIDOC
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L'an dernier, la pédagogue marseillaise Agnès Charlemagne s'était déplacée à Lausanne (dans le bâtiment du CIDOC !) afin de présenter sa méthode pour travailler la catéchèse et les questions de foi des jeunes et son intervention avait alors produit une très vive impression sur tous les participants, dont le soussigné. Elle avait déjà publié quelques livres dans lesquels elle réfléchissait sur l'éveil et la transmission de la foi, en particulier avec les adolescents (ainsi, Je t'écoute : petit guide pour transmettre la foi entre les générations, ou Les ateliers : 30 rencontres d'éveil spirituel avec les adolescents), mais il n'y avait alors pas de manuel à proprement parler.
C'est maintenant chose faite avec la publication par les éditions Crer-Bayard, dans un style graphique très soigné : Que cherchez vous ? Parcours d'éveil spirituel pour les jeunes (en deux volumes : d'une part, le guide de l'animateur et d'autre part, le livret du jeune). La table des matières du parcours est elle-même programmatique : il s'agit de pouvoir aborder à bâtons rompus avec les jeunes toutes les grandes questions du sens de la vie, avec, toujours présent en filigrane, un éclairage chrétien et biblique. A noter que c'est une approche qui se démarque par son aspect non-confessionnel tant elle s'adresse à un public qui peut être très éloigné des Églises - on n'y trouvera par exemple pas ou peu de réflexion dogmatique propre à ce qu'on a l'habitude d'entendre dans un terreau catholique (sur le sens de l'eucharistie, par exemple). Regardez donc ci-dessous le sommaire qui annonce les thématiques abordées :
Pleinement convaincue par la capacité transformatrice du dialogue, Agnès Charlemagne débute son guide par cette certitude acquise d'une longue expérience : Écouter les jeunes a changé ma vie, leur soif spirituelle a approfondi ma foi (p. 5). Structuré en 20 ateliers, avec nombre de citations bien choisies qui ne pourront que susciter la réflexion et l'envie de débattre et d'exprimer ses propres convictions, on ne peut qu'être certain que cette approche ne plaira pas seulement aux jeunes mais à toute personne en quête sur le chemin de la foi ! En effet, à plus d'une reprise, en consultant le manuel, le lecteur trépigne, voudrait réagir, lever la main et se positionner face à un auditoire imaginaire !
Ce parcours est donc un beau et stimulant cadeau pour tous les chrétiens qui sont en quête du sens de leur foi, et nous le mettons dès à présent à disposition, en deux exemplaires, au CIDOC.
Robin Masur, Chef de service du CIDOC